Tosca

The Wonderfull Tosca. A Perfection with the great leader that is/was Karajan. I have more than 10 Toscas and this one is in my top 3. Buy it without fear. Thanks.

Fantastic, this has to be one of the most beautiful renditions of Puccini famous opera, and i cant recomend it enough.

Prompt service, as described

This 1951 recording has some things going for it -- it is warmly recorded, and the solo voices come through quite well (the choral portions of Act 1 suffer a bit). The young Renata Tebaldi sings with beauty and confidence, though not with any unusual dramatic involvement. The Cavaradossi, Giuseppe Campora, has a dark, pleasant voice, but not a particularly distinctive one. The first two voices we hear -- Caselli and Corena as Angelotti and the Sacristan -- sound powerful. Caselli, in fact, would have made a better Scarpia than Enzo Mascherini, who sounds tired, grainy and unassertive here. Erede's conducting is warm, but comparison with the tension that di Sabata generates in the EMI 1953 Callas "Tosca" is all in di Sabata's favor. And that's the problem, in a nutshell -- only two years after this recording appeared, EMI gave us the Callas that is alive with dramatic specificity from both singers and orchestra. Di Stefano is a vivid and engaged Cavaradossi, Callas was wonderful as Tosca, and, most tellingly, Gobbi gave us a Scarpia for the ages. This Decca one is worth hearing for Tebaldi, and Campora does fine, but it pales in comparison not only with the EMI but with the later Decca/RCA 1961 stereo recording with Price and Karajan.

Quelle voix superbe que celle de Tebaldi ! A part le « Vissi d’arte », il n’y a guère d’air solo ici qui puisse la mettre en valeur, mais l’ensemble de sa prestation, pour sa première Tosca au disque, est parfaite : des notes filées, des aigus tranchants, mais pas de cris, et des notes graves moelleuses : quand Puccini est servi ainsi, on n’accepte plus d’entendre que cette musique est facile ou vulgaire.Le Cavaradossi de Campora est élégant et généreux, belle voix, du coffre. Enzo Mascherini, Scarpia, a une voix assez claire, il ne rate pas son entrée, il ne « gueule » pas, cela reste du chant. Corena est le meilleur Sacristain que je connaisse, il l’a enregistré plusieurs fois. Piero de Palma est un Spoletta cauteleux à souhait, Dario Caselli fait barbon en Angelotti : son séjour au château Saint Ange a laissé des traces.Nous avons les atouts d’une version studio : clarté des pupitres, équilibre orchestre-voix, qualité sonore, même pour de la monophonie (surtout chez Decca). Les pages purement orchestrales de la fin du II et début du III sont bien rendues. Inconvénient (léger) : moins de vie théâtrale, mais à ce niveau de qualité vocale, on peut faire l’impasse. D’autant plus que la Tebaldi, en « live », ne se remuait guère plus qu’en studio…Et donc, finalement, on se retrouve avec une version qui n’est certes pas « la » référence (y-en-a-t-il d’ailleurs une seule pour ce chef d’œuvre ?), mais qui tient la comparaison avec les dizaines d’autres.Comme toute cette série de rediffusion Decca, pas de commentaire, résumé en anglais, français, allemand, italien. Enregistrement mono studio de 1951.

Una gran versión en conjunto, el sonido Grand Decca (esta es la mejor remasterización, no las posteriores) ...y los cantantes de primera: Price ES Tosca, di Stefano nació para ser Cavaradossi, vaya Scarpia de impresión que hace Taddei !; el caracter que se imprime en general es el ideal verista, el gran Karajan domina el ambiente, hace que todo funcione, el coro, etc.. repito una version legendaria para disfrutar de esta obra maestra.