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Schubert: Trout Quintet/String Quartet No.14 - "Death and the Maiden" (DG The Originals)
O**N
Superb vinyl issue
Amazing quality recording, mastering and pressing. Rich, vibrant, perfect separation, sound staging. If you can find a copy don’t hesitate
K**Y
Wonderful
The first piece of classical music I heard was this.....I was very young at the time, yet I have never had it in my collection. This interpretation is wonderful and shows Shubert at his best.
S**A
Schubert Trout Quintet/String Quarter No 14-Death and the Maiden
A lovely recording of great pieces of music even though it is relatively old. I will listen to this over and over again.
J**N
John says
Schubert at his best. I love this music and can listen to it in the garden preparing a BBQ as of last weekends hot weather, for quiet contemplation or even training for a marathon through headphones. This is a good version clear and crisp. Recommended
J**T
Beautiful music.
Arrived safely and on time. Beautiful music.
R**R
Top Class
A top class performance
C**S
Five Stars
Very good recording.
M**R
Christmas Gift
Bought for a friend who had asked for a Schubert CD for a Christmas present. She says that she is delighted with the CD as she wanted the Trout Quintet. The String Quartet No 14, she says, is a lovely bonus.
R**H
Enjoyable recording.
Very fine recording. So enjoyable.
R**O
Un'accoppiata vincente: Gilels e l'Amadeus Quartet
Nella precedente recensione del cofanetto contenente tutte le registrazioni di Emil Gilels per le case RCA e Columbia, avevo suggerito - in alternativa all'acquisto di altri due corposi cofanetti relativi alle incisioni effettuate per la Deutsche Grammophon e per la EMI - di integrare la raccolta già posseduta scegliendo fior da fiore tra i numerosi altri CD incisi del grande pianista russo, in particolare privilegiando le opere di Beethoven (i concerti con Szell e qualche sonata) e qualche composizione cameristica.Per l'appunto con il CD qui presentato ci troviamo in quest'ultimo caso: si tratta del Quintetto per piano, violino, viola, violoncello e contrabbasso in la magg. D.667 di Franz Schubert, più noto come "Forellenquintet" ovvero "La Trota", eseguito nel 1975 da Gilels unitamente a tre membri del prestigioso Amadeus Quartet (Norbert Brainin al violino, Peter Schidlof alla viola e Martin Lovett al violoncello) e a Rainer Zepperitz, primo contrabbasso dei Berliner Philarmoniker.Il risultato non poteva che essere di eccellenza: Gilels è stato uno dei non numerosi pianisti di grande fama disponibile a mettere la propria arte anche al servizio di altri colleghi per la riuscita di un'opera da camera e l'Amadeus Quartet rappresentava quanto di meglio esistesse nell'ambito del repertorio classico.L'esecuzione del Quintetto scorre quindi in modo estremamente piacevole, conferendo leggerezza e trasparenza alla partitura ed esaltando la serenità idilliaca contenuta nei cinque movimenti, mettendo altresì in risalto nelle Variazioni dell'Allegretto (quarto movimento) la bravura dei singoli esecutori, il cui segreto sta proprio nella capacità di valorizzare il singolo strumento senza peraltro debordare e pervenendo così ad una sintesi unitaria del brano riprodotto.Il CD contiene altresì - sempre di Schubert - il Quartetto per archi in re min. D.810, più noto come "La Morte e la Fanciulla", registrato nel '59 ed affidato, anche in questo caso, all'Amadeus Quartet qui nella sua interezza (con la presenza del secondo violino Siegmund Nissel).Il clima cambia completamente rispetto al brano precedente, passando dalla spensieratezza di un paesaggio campestre (che pur contiene qualche momento più riflessivo ben evidenziato dagli interpreti) alla lotta di una fanciulla contro la morte, che infine se la porta con sé: a maggior ragione vengono apprezzate la tecnica e le sonorità che l'Amadeus Quartet riesce ad ottenere, evidenziando con grande finezza il dolore e la struggente malinconia contenuti nell'opera, fino alla dolce rassegnazione del finale.Come dicevo all'inizio, questo è un CD che - per integrare la conoscenza di Gilels, oltre a godere della presenza dell'Amadeus Quartet - non si può non possedere.
N**T
Schubert: Trout Quintet
This performance, by a truly first-rate group of musicians, is music that may serve to console one who is troubled. Even though conditions may be less than favorable to the listener, the harmony and variations of the performance tend to uplift the soul.
C**N
Schubert, les Amadeus et Gilels : l'exemplarité
La réédition quasi permanente des merveilles que nous apportèrent le quatuor Amadeus dans Schubert et le pianiste Emil Gilels mérite quelques rappels sur le parcours de ces artistes.Juifs autrichiens, trois jeunes violonistes, nés vers 1922-23, se réfugient en Angleterre où, pendant la guerre, ils vont connaître les camps d'internement. C'est en ces lieux que les jeunes artistes, Norbert Brainin, Siegmund Nissel et Peter Schidlof se rencontrent et projettent la création d'un Quatuor qui dans un premier temps, en 1947, s'appellera le quatuor Brainin. Le violoncelliste anglais Martin Lovett les rejoint pour former l'ensemble qui se produit dès 1947 et devient le Quatuor Amadeus en 1948.Le quatuor va vivre 40 ans jusqu'en 1987, date de la disparition de l'altiste Peter Schidlof. Aujourd'hui, seul Martin Lowett est encore en vie à 84 ans à Londres. Ils ont souvent enregistré des quintettes de ces compositeurs avec des comparses fidèles comme l'altiste Cecil Aronowitz (quintettes de Mozart) ou Robert Cohen avec lequel, en 1987, ils réalisent leur ultime enregistrement : le quintette à deux violoncelles de Schubert.Le pianiste Russe était né à Odessa en 1916. Il donnera son premier concert à 13 ans. En 1951, il est un des rares pianistes soviétiques à pouvoir se produire fréquemment à l'étranger. Son jeu était caractérisé par une grande pureté des lignes et un legato léger (on s'en rend particulièrement compte dans l'enregistrement du quintette). Il est mort à Moscou en 1985.Schubert a 21 ans en 1817. Le quintette "La Truite" date donc des années des premiers succès. Schubert, pour faire plaisir à des amis musiciens amateurs, mais talentueux, va imaginer de requérir à un groupe d'instruments inusité à l'époque : un violon, un alto, un violoncelle, une contrebasse et un piano. (Hummel l'a déjà utilisé quelques années auparavant, mais Schubert l'ignore.) Heureux hasard, il a une commande de son ami violoncelliste Sylvestre Paumgartner à honorer. Schubert va écrire un quintette en forme de "Plaisanterie Musicale" si l'on pense à Mozart. Soyons clair, l'œuvre, avec ses 5 mouvements, s'écarte totalement du modèle classique pour retrouver la bonhommie et la vitalité des divertimentos et sérénades.Un accord des cordes à l'unisson introduit un arpège descendant du piano. Emil Gilels égrène ces quelques notes avec un legato aérien qui aurait rendu jaloux Glen Gould. Le quintette sautille ainsi joyeusement de roches en roches, de notes en notes, dans un ruisseau miroitant au soleil d'été. Je dois dire que l'oreille sera le meilleur analyste d'une telle partition. Tant dans l'andante que dans le presto, les variations célébrissimes et le final, les Amadeus et Gilels nous entraînent dans une danse d'une élégance et d'une fraîcheur souveraines. Les cordes ont une agilité et une chaleur chatoyante et généreuses, le piano ne se met jamais en avant mais garde un jeu précis, robuste et pudique à la fois. Je ne le répéterai plus, nous entendons là une version historique de ce chef d'œuvre. Nous sommes aux antipodes du climat du quatuor à venir. Tout sonne jeune, brillant, énergique, drôle. Les motifs se fondent dans un jeu irréel et semblant sans fin possible : la vie !Le thème de la jeune fille et la mort trouve ses racines dans la mythologie grecque. Repris depuis la Renaissance par les peintres et poètes, ce mythe nourrit l'interrogation sur le caractère éphémère de la beauté et de la sensualité, en un mot, de l'inévitable déclin des charmes de la sexualité face à la mort inéluctable.Le farouche motif introductif renvoie au motif du destin de la cinquième symphonie de Beethoven. Il est inversé en terme de durée des notes, mais l'impact dramatique est de la même intensité. Les thèmes s'entrechoquent. La fuite angoissée et éperdue de la jeune fille domine la première partie. Schubert alterne l'usage des modes mineurs (le Ying) et majeurs (le Yang) pour mieux nous égarer dans ce maelström existentiel. Les Amadeus domptent chaque difficulté expressive de la musique. Ils en maîtrisent à la fois les traits acérés et anguleux et la souplesse du legato requise dans les passages méditatifs. Leurs tempos sont rapides mais jamais précipités. Comme tous les grands artistes, ils parviennent à nous impliquer dans cette course folle vers l'abîme qui se rapproche.Une énergie peu commune se dégage du 4ème mouvement. Schubert côtoie un univers symphonique en réduction. Les archets attaquent les cordes fiévreusement. La musique évolue en bacchanale frénétique. Certains parlent d'une danse de mort. Rien ne semble pouvoir arrêter les musiciens d'Amadeus dans la furie qui va crescendo jusqu'au prestissimo le plus diabolique et la fin ineluctable en mode mineur.Il est difficile de ne pas aimer et conseiller ce Cds pour les néophytes qui voudraient découvrir deux des œuvres de Schubert parmi les plus exemplaires. Il est par ailleurs rare de trouver réunis sur la même galette le quintette "La truite" et le quatuor N°14 "La jeune Fille et la Mort". Ne boudons pas notre plaisir pour cette cohabitation entre une des pages les plus vivantes du compositeur viennois et, a contrario, une des plus dramatiquement psychologique.Les Amadeus ont enregistré 3 fois ce quatuor. Cet enregistrement date de 1959. Il bénéficie d'une belle stéréophonie resserrée mais dynamique Il ne sera concurrencé que par celui du début du numérique. Du Quatuor Busch au Quatuor Alban Berg en passant par le quatuor Melos (en 1975 uniquement), les réussites sont nombreuses.Le Quintette « La truite » a été gravé en 1976. L'enregistrement en live de Rudolf Serkin avec ses amis du festival de Malborough, très vivant, est toujours au catalogue.
A**D
Freude und Trauer
Schuberts Forellenquintett in A Dur D 667 zählt sicherlich zum Besten, was die Kammermusik jemals erschaffen hat, und auch zum Besten, was Schubert zu bieten hat. Schon allein die ungewöhnliche Besetzung (Klavier, Violine, Viola, Violoncello, Kontrabass) macht dieses Werk interessant. Hinzu kommt die Tatsache, dass es sich hierbei um Schuberts fröhlichstes, euphorischstes und strahlendstes Stück handelt.Das einleitende Allegro vivace hat es mir von Anfang an angetan: Die perlenden Klänge, die perfekte Harmonie zwischen den Instrumenten und die liebliche Schönheit ziehen in ihren Bann. Ein weniger fröhliches, dafür zartes Andante beschreibt den zweiten Satz. In aller Freude tauchen beinahe unverhofft schmerzvolle, quälende Akkorde auf, die an einen Ausspruch Schuberts erinnern: "Kennen Sie eine fröhliche Musik? Ich kenne keine."Das wundervoll filigrane Scherzo gefällt wohl ebenso. Schließlich folgt das Herzstück der Komposition, der Variationssatz über eines der bekanntesten Schubert Lieder: "Die Forelle", welche dem Stück auch seinen Namen gab. Als perfekt empfinde ich vor allem zwei Variationen: In der einen trägt der Kontrabass die Variation vor, von den anderen Instrumenten nur begleitet; die andere ist düster und abgehackt und wirkt beinahe befremdlich.Im Finale wird subtileren Freuden Ausdruck verliehen, die quasi zwischen den Zeilen zu suchen sind. Dieser Satz erinnert beinahe schon an die verschnörkelten, kantigen späten Streichquartette Schuberts.Als Zugabe findet sich das Quartett "Der Tod und das Mädchen" in d moll D 810 auf der CD, ein Quartett, das vor allem durch seinen Variationssatz über ein weiteres bekanntes Lied des Komponisten berühmt geworden ist. Von daher empfinde ich die Zusammenstellung als thematisch passend, auch wenn an der Aufnahme der Zahn der Zeit genagt hat, was sich vor allem im verhältnismäßig starken Rauschen äußert.Dieses Streichquartett zählt zu den düstersten und traurigsten der Literatur und offenbart seine Reize nicht nur im überaus bekannten zweiten Satz: Auch das Finale in seiner Schroffheit weiß, zu überzeugen.Interpretatorisch bewegt sich diese Kompilation auf allerhöchstem Niveau: Das Amadeus Quartett ist für seine hervorragenden Einspielungen bekannt, ebenso der große Russe Gilels. Rainer Zepperitz, den ich bis dato nicht kannte, macht seinen Job mehr als gut. Positiv anzumerken bleibt weiterhin, dass die fünf bzw. vier Instrumente ausgezeichnet miteinander harmonieren, keines sticht hervor, keines läuft einem anderen den Rang ab.Fazit: Eine absolut empfehlenswerte CD, schon allein wegen des genialen Quintetts. Eine der weniger zahlreichen CDs, die bei mir nie verstauben.
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